L’exposition « Le Peuple, le Livre, la Terre : 3 500 ans de relations entre le peuple juif et la Terre sainte » a été rédigée par le regretté professeur Robert Wistrich, de l'Université hébraïque de Jérusalem, avec le soutien de l’Unesco, du Centre Simon Wiesenthal et de Verbe et Lumière - Vigilance.

 

Ses vingt-quatre panneaux présentent l’histoire juive depuis les prophètes bibliques et les royaumes de David et Salomon, les exils à Babylone et en Perse et le retour pour reconstruire Jérusalem, l’occupation de la Judée par les Romains et la naissance du christianisme, les croisades et la conquête musulmane, la diaspora et les pionniers déterminés à racheter la terre, les enjeux diplomatiques pour la reconnaissance d’une nation juive moderne en construction, en passant par la quasi-destruction des Juifs d’Europe durant la Shoah. Elle s’achève sur la création de l’État d’Israël et le retour du peuple juif sur sa terre ancestrale. Le comité d’honneur de l’exposition est composé du regretté Elie Wiesel, du père Patrick Desbois, de l’ancien ministre canadien de la Justice Irwin Cotler, de l’archevêque émérite de Canterbury Lord Carey et de l’auteur algérien Boualem Sansal.

 

L’inauguration officielle de l’exposition a eu lieu en juin 2014 au siège de l'Unesco à Paris, sous les auspices de sa directrice générale, Irina Bokova. Elle a été présentée aux Nations unies à New York en mars 2015. En novembre de la même année, elle a été présentée au Congrès des États-Unis à Washington et à la Knesset israélienne et, en décembre, au Vatican.

 

En juin 2016, l'exposition a itinéré à la mairie de Copenhague ; puis au Monténégro, en Albanie, au Centre Gandhi de New Delhi et à Bakou, en Azerbaïdjan. En 2017, elle a été exposée au Parlement britannique, au Fringe Festival d'Édimbourg, à Buenos Aires et à Santiago du Chili ; plus récemment, en octobre 2017, au Conseil de l'Europe avec le coparrainage de 42 pays, dont la plupart des États membres de l'Union européenne.

 

En 2018, elle a été exposée à la cathédrale de Salford à Manchester, au Sommet des Amériques à Lima, à la médiathèque André-Malraux de Strasbourg, au festival Almedalen à Visby et à l’Europaporten de Malmö, en Suède. En 2019, elle se tenait au Palazzo Valentini, palais qui abrite le siège de la ville métropolitaine de Rome Capitale, puis à la Foire du livre de Francfort, ainsi qu’à Tokyo et à Hong-Kong.

 

Nos projets pour les douze prochains mois prévoient de faire circuler l’exposition en France métropolitaine, en Italie, en Espagne, en Allemagne, en Éthiopie, en Russie et en Géorgie, ainsi qu'ailleurs en Suède et dans d’autres pays européens et de la Francophonie.

 

Le 22 octobre 2019

« C’est de façon totalement inopinée que nous avons été invités à présenter notre exposition ‘‘Le Peuple, le Livre, la Terre : 3 500 ans de relations entre le peuple juif et la Terre sainte’’, réalisée avec le soutien de l’association Verbe et Lumière - Vigilance, aux ‘‘Olympiades des salons du livre’’ », se réjouissait Shimon Samuels, le directeur des Relations internationales du Centre Simon Wiesenthal.

 

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De gauche à droite : Isabelle Poupart, chef de mission adjointe à l’ambassade du Canada de Berlin, 
Shimon Samuels, directeur des Relations internationales du Centre Wiesenthal, Timothy Eydelnant, 
consul général des États-Unis à Leipzig, Graciela Vaserman-Samuels, consultante auprès 
de la directrice générale de l’Unesco, Uwe Becker, maire de Francfort, Patricia Lacina, consul général 
des États-Unis à Francfort, Julian-Chaim Soussan, rabbin de la communauté juive de Francfort, 
Ursula Schoen, vice-doyenne de l’Église évangéliste de Francfort, Johannes zu Eltz, 
diacre de l’Église catholique de Francfort, et Alex Uberti, consultant auprès du Centre Wiesenthal.

 « Depuis seize ans, nous sommes la seule organisation non gouvernementale à surveiller l’incitation à la haine et à la violence sur les stands de la Foire du livre de Francfort (Frankfurter Buchmesse, FBM). Nous y dénonçons les ouvrages qui contreviennent au contrat des éditeurs avec le salon, indiquait M. Samuels. Cette année, nous avons eu l’opportunité d’y appliquer un antidote. »

Jürgen Boos, le directeur de cette importante foire qui accueille 7 400 exposants venus de 104 pays et plus de 300 000 visiteurs, s’intéresse au plus haut point au travail du Centre.

En outre, M. Samuels avait demandé au maire de Francfort, Uwe Becker – un champion de la lutte contre l’antisémitisme et BDS –, lors de la conférence Muni-World qui s’était tenue à Tel-Aviv en mars dernier, d’inaugurer notre exposition à Francfort dans un lieu approprié. C’est cette Foire du livre 2019 qui a été choisie comme l’endroit idéal.

M. Becker a accueilli nos invités, parmi lesquels la chef de mission adjointe de l’ambassade du Canada à Berlin (le Canada sera l’invité d’honneur de la FBM 2020), les consuls généraux des États-Unis à Francfort et à Leipzig, les chefs religieux de Francfort et le vice-président de la Foire.

Il a souligné que « cette exposition, ‘’Le Peuple, le Livre, la Terre’’, est la preuve que les relations entre le peuple juif et l’Etat d’Israël n’ont pas commencé en 1948 du fait de la Shoah. Cette extermination massive à l’échelle industrielle fut, plus que le meurtre de six millions d’âmes, le meurtre de personnes uniques multiplié par six millions – chacune d’entre elles ayant été dépouillée de ses droits, déshumanisée et assassinée.

« Cette exposition a lieu au bon moment, alors que nous assistons à une nouvelle montée de l’antisémitisme. Elle se produit aussi au bon endroit, dans ce salon de Francfort où 170 nationalités, 200 langues et toutes les religions sont présentes.

« C’est un instrument pour lutter contre l’extrême droite et la gauche antisioniste qui, épinglant Israël d’entre tous les pays et délégitimant l’existence même de l’Etat, se révèle ainsi comme une gauche antisémite. L’exposition ne montre pas seulement la souffrance, elle affiche aussi la couleur éclatante et la richesse de la culture juive.

« Nous ne présentons pas que 3 500 ans d’histoire juive : nous célébrerons l’an prochain 1 700 ans de présence juive en Allemagne. Ce sera l’occasion de montrer ce que les Juifs ont fait pour le développement de notre pays, pas uniquement les heures sombres, ainsi que l’amitié qui lie l’Etat d’Israël à l’Allemagne. »

M. Samuels a offert au maire de Francfort une lampe de Judée en argile datant de deux mille ans « pour éclairer votre route et faire face aux défis à venir ». 

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Shimon Samuels avec le maire de Francfort, Uwe Becker.

Le rabbin Julian-Chaim Soussan, représentant la communauté juive de Francfort, a cité un historien qui affirmait que les Juifs avaient beaucoup d’histoire mais peu de géographie. « Pourtant la Terre promise et Jérusalem ont voyagé dans nos cœurs, partout où nous avons résidé. Les conquérants de la terre d’Israël en ont fait une province de leurs empires… Mais pour les Juifs, leur terre représentait une tête de pont pour préserver leur moralité et leur solidarité. Nous avons accepté nos voisins et les étrangers, car nous étions nous-mêmes des étrangers en terre étrangère. Cette exposition montre que les Juifs sur leur propre terre souhaitent vivre en paix et dans le respect. »

Le sénateur Michael Keller a mentionné le fait que l’attentat manqué de la synagogue de Halle, le jour de Yom Kippour, jette une ombre sur cette exposition programmée presque au même moment… « Certains signes révèlent que le peuple allemand perd sa sensibilité à l’égard des Juifs… Cette exposition pourra peut-être susciter une nouvelle curiosité et une meilleure compréhension de ses voisins juifs. »

- Johannes zu Eltz, diacre de l’Eglise catholique de Francfort, a déclaré que « Juifs et Chrétiens ont en commun les saintes Ecritures et l’amour pour la Terre sainte, Eretz Israel… Il en va de l’intérêt religieux des Chrétiens que les 3 500 ans d’histoire des Juifs en Terre sainte se perpétuent. Que le Seigneur les bénisse et leur apporte la paix ».

- Ursula Schoen, vice-doyenne de l’Église évangéliste de Francfort, a félicité le Centre Wiesenthal pour son initiative, et ajouté un facteur peu connu et dérangeant : « Le lieu où se trouve ce salon a une sombre histoire. C’est là que se trouvait le point de rassemblement des Juifs qui allaient être déportés vers les camps de concentration pour y être assassinés… Cette exposition est un signe d’espérance pour l’avenir d’Israël, aussi bien en tant que terre que d’Etat. Nous souhaitons vous accompagner sur cette voie. »

- Tobias Voss, vice-président de la Foire, a clôturé son inauguration en mettant l’accent sur « la violente agression commise la semaine dernière à Halle, le jour de Yom Kippour. Elle a rendu impossible le retour normal aux affaires… Il est difficile d’imaginer la terreur des fidèles enfermés dans la synagogue. Que cette agression contre des Juifs puisse survenir dans l’Allemagne de 2019 nous remplit d’un profond sentiment de tristesse, de colère et, par-dessus tout, de honte.

« En qualité de représentant de Francfort à la Foire du livre de Jérusalem depuis de nombreuses années, je me suis fait de nombreux amis dans cette ville. L’exposition fait la lumière sur l’histoire du peuple juif, de Jérusalem et de la Terre sainte. Elle recèle de nombreux faits que j’ignorais. Nous souhaitons partager notre curiosité et notre espoir qu’elle connaisse un succès retentissant. »

M. Samuels a remercié le vice-président Voss et, avant l’inauguration, il avait exprimé au nom du Centre sa reconnaissance au directeur de la Foire, Jürgen Boos.

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Shimon Samuels avec Jürgen Boos, directeur de la Frankfurter Buchmesse
/Mention de l’exposition du Centre Wiesenthal dans le catalogue de la Foire du livre.

« Dans le sillage de l’attentat terroriste de Halle, la Foire n’a pas voulu prendre de risques. Elle nous a envoyé des agents de sécurité pour assurer le bon déroulement de notre exposition… Les organisateurs du salon ont hébergé notre exposition avec l’idée que c’était un outil d’éducation contre l’antisémitisme, le racisme et l’intolérance.

« Hormis quelques visiteurs du stand iranien situé à quelques pas du nôtre – qui semblaient très étonnés de lire nos panneaux –, les autres visiteurs se sont montrés très positifs. Certains ont même proposé de nous aider à préparer d’autres présentations de l'exposition ailleurs dans un proche avenir », concluait M. Samuels.

Paris, le 29 janvier 2019

La Journée de commémoration de l’Holocauste, instaurée par les Nations unies, était célébrée ce 27 janvier. En cette occasion, le directeur des Relations internationales du Centre Simon Wiesenthal, Shimon Samuels, et la conseillère spéciale auprès de la directrice générale de l’Unesco, Graciela Vaserman-Samuels, étaient invités par le collège romain Vittorio-Alfieri à assister à une pièce de théâtre jouée par ses élèves, Racconta (« Témoignage »). Cette pièce, inspirée du récit d’un rescapé de la Shoah, Sami Modiano : Davanti a Questi Occhi (« Devant mes yeux »), fait aussi l’objet d’un film documentaire.

Plus de cent collégiens y ont retracé sur scène les histoires vécues d’enfants déportés à Auschwitz, dans une salle comble. L’événement se déroulait dans l’auditorium de la fondation italienne MAXXI (Musée national des arts du XXIe siècle).

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Le lendemain, l’exposition coorganisée par le Centre Wiesenthal (avec le soutien de l’association Verbe et Lumière - Vigilance) et l’Unesco, « Le Peuple, le Livre, la Terre : 3 500 ans de relations entre le peuple juif et la Terre sainte », se tenait au Palazzo Valentini, palais qui abrite le siège de la ville métropolitaine de Rome Capitale. L’exposition était placée sous l’égide de cette administration ainsi que de la Communauté juive de Rome et de l’ambassade d’Israël en Italie.

Shimon Samuels soulignait « le fil conducteur des vingt-quatre panneaux de l’exposition : des valeurs et un code éthique que le peuple juif a apportés à l’humanité… de la libération des esclaves au septième jour de repos, en passant par le rôle joué par les prophètes de la Bible pour faire contrepoids aux monarques – des avancées qui préfigurent l’État de droit... »

Gemma Guerrini, présidente de la ville métropolitaine de Rome Capitale, qui regroupe aussi 121 communes autour de Rome, a remercié le Centre Wiesenthal d’y présenter cette exposition à l’occasion de la commémoration nationale de la Shoah. Elle a remarqué que l’exposition jouait un rôle capital en ce sens que les élèves du secondaire qui doivent la visiter durant plus de deux semaines acquerront un aperçu de l’histoire juive – un outil pour lutter contre la résurgence de l’antisémitisme.

Ruth Dureghello, présidente de la Communauté juive de Rome – la plus ancienne communauté juive d’Europe –, a mis l’accent sur l’importance d’une prise de conscience de l’histoire juive, aujourd’hui la cible d’attaques constantes. Elle a ajouté qu’elle s’engageait à présenter l’exposition en tournée à travers l’Italie, en collaboration avec le Centre Wiesenthal, la Coalition européenne des villes contre le racisme et l’ambassade d’Israël.

Ofra Farhi, ambassadrice adjointe d’Israël en Italie, a axé son discours sur « le Peuple, le Livre, la Terre en tant que trinité du judaïsme », insistant sur la Terre d’Israël en tant que lieu dévolu aux Juifs.

Morgan Hall, secrétaire chargé des Affaires politiques à l’ambassade des États-Unis en Italie, a mis l’accent sur la nécessité de centrer ses efforts sur la mémoire et l’éducation pour juguler le négationnisme ambiant.

Le rabbin Abraham Cooper, vice-doyen et directeur de l’Action sociale globale du Centre Simon Wiesenthal, a rappelé que l’auteur de l’exposition, le professeur Robert Wistrich, est décédé à Rome. Il a apprécié à sa juste valeur que les bâtiments officiels de Rome avaient hissé leurs drapeaux en berne en signe de respect pour cette journée de commémoration. Il a précisé que de tels exemples de solidarité ne doivent pas seulement porter sur les victimes juives mais aussi sur les vivants. Il a aussi rappelé que cette exposition rendait hommage à l’universalité des valeurs communes insufflées à la civilisation par le judaïsme, que ce soit à Rome, Los Angeles ou Jérusalem.

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De gauche à droite : le rabbin Abraham Cooper, la présidente Gemma Guerrini,
Shimon Samuels, Ofra Farhi de l’ambassade d’Israël, la présidente Ruth Dureghello,
l’ambassadrice Hana Hubackova, Graciela Vaserman-Samuels et le père Norbert Hofmann.

On distinguait au nombre des autres personnalités : Angelo Diario, président de la Commission sport et qualité de vie de la Ville de Rome, qui, avec Gemma Guerrini, avait invité le Centre Wiesenthal à présenter son exposition et ses initiatives à la Ville de Rome ; Hana Hubackova, ambassadrice de la République tchèque ; le père Norbert Hofmann, secrétaire de la Commission du Vatican pour les relations religieuses avec le judaïsme ; le père Roberto Cherubini, directeur des Relations extérieures de l’université pontificale Urbaniana ; Graciela Vaserman-Samuels, conseillère spéciale auprès de la directrice générale de l’Unesco ; et des étudiants de tous pays en stage à la ville métropolitaine de Rome Capitale, ainsi que des représentants d’ONG sensibles au programme du Centre Wiesenthal.

L’événement était animé par Alex Uberti, conseiller auprès du bureau européen du Centre et agent de liaison pour la présentation de l’exposition en Europe. Celui-ci a en outre présenté la version italienne du Calendrier multiconfessionnel 2019 du Centre Wiesenthal aux instances de la municipalité de Rome, qui lui ont demandé de le traduire afin de le distribuer dans toute la région métropolitaine. Ils pensent l’utiliser comme un outil de compréhension et de tolérance interreligieux. La version italienne de l’exposition et le Calendrier multiconfessionnel 2019 ont tous deux été conçus avec le soutien de la fondation Snider.

Les débats ont été enregistrés. Ils sont disponibles sur le site de Radio Radicale au moyen du lien suivant :
https://www.radioradicale.it/scheda/564111/inaugurazione-della-mostra-il-popolo-il-libro-la-terra-3500-anni-di-relazione-del

L’association Verbe et Lumière - Vigilance a contribué à la création de l’exposition « L’euthanasie nazie des handicapés : les premières victimes de Hitler », fruit d’une collaboration de recherche entre le Centre Simon Wiesenthal-Europe et l’association d’études historiques Olokaustos, basée à Venise.

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Cette exposition est un atout inégalé et prestigieux d’un point de vue scientifique et conceptuel.  Elle parcourt le chemin idéologique, scientifique et politique de l’eugénisme jusqu’à l’euthanasie – de la haine jusqu’à l’Holocauste – des handicapés, des Juifs et d’autres groupes privés par les nazis de leur identité et de leur humanité.  La production de cette exposition et de son catalogue fut sponsorisée par Verbe et Lumière - Vigilance, afin d’être inaugurée à l’Unesco à Paris, en 2008. Elle a également été présentée dans d’autres villes et dans d’autres langues, notamment à Berlin, à Saint-Pétersbourg et à Buenos Aires.  

 

La réédition de cette exposition en France et dans la Francophonie – qui compte près de 80 pays dans le monde – est une opportunité pour réveiller la conscience surtout des jeunes générations soumises aux codes esthétiques, sociaux et psychologiques contemporains.  Elle serait également utile pour sensibiliser les institutions et un public plus large sur le risque de banalisation de la vie humaine dans une époque de grave crise de valeurs. Cette exposition représente un des exemples historiques classiques des dérives de la haine envers « les autres » – une haine souvent pratiquée dans l’indifférence, voire la complicité, de la société « civile ». Elle commémore la multiplicité des crimes nazis, rappelant le dicton toujours valide : « Ce qui commence avec les Juifs ne finit pas qu’avec les Juifs. »

 

En touchant un public plus vaste, elle pourrait certainement représenter un futur instrument de sensibilisation et d’appréciation de la valeur et du travail de Verbe et Lumière - Vigilance.

L'exposition « Médecins guerriers - docteurs et infirmiers engagés dans la Résistance pendant l'Holocauste » ( titre original : "Medical Warriors - Physicians and Nurses Engaged in French Resistance during the Holocaust ") est rédigée par le Professeur Cheyenne Martin, PhD, de l'université du Texas (UTMB) à Galveston.
 
Cette exposition est un outil d'éducation pour le personnel médical et hospitalier, les étudiants et les professeurs, pour les professionnels de la santé et pour un plus large public, permettant de revivre et comprendre l'expérience, les choix éthiques et les sacrifices de ces résistants pour sauver des vies pendant l'Occupation nazie et la Shoah en France. Les Médecins guerriers sont des exemples catalyseurs pour la prévention de la violence et des pulsions génocidaires, ainsi que des instruments d'alerte et de réponse rapide.
 
Pour plus de renseignements sur la disponibilité de l'exposition - à partir de 2019 - contactez l'association Verbe et Lumière - Vigilance par téléphone au +33 1 47 23 76 37 ou par courriel à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..